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Publié : 3 janvier 2010

La petite Histoire de Plume de Lasserre et Séverine en Corréze

PLUME

Après avoir déménagé en Corrèze, j’ai voulu me remettre à l’équitation et profiter de l’espace pour acheter un cheval pour faire des promenades et éventuellement des randonnées sur plusieurs jours. Mon choix était déjà fait quant à la race de chevaux, j’ai toujours adoré les petits princes noirs de l’Ariège, qui sont parfaitement adaptés à la vie au pré à l’année et à la randonnée.

Ayant fait une chute de cheval quelques années auparavant, il me fallait absolument trouver une jument calme en qui je puisse avoir confiance. J’ai trouvé l’adresse du Haras Picard du Sant par e site internet, et la méthode d’élevage et d’éducation des poulains m’a conquise. Je suis donc allée passer un week-end en Ariège à Lasserre, j’ai essayé plusieurs chevaux dont ma petite Plume que j’ai tout de suite adoré. Elle avait déjà de longs crins, un œil doux et malicieux, une tête fine et surtout a été calme pendant toute la promenade : mon choix était déjà fait…

Je suis revenue un mois plus tard pour l’essayer de nouveau, et j’ai craqué ! Jean-Louis et Christine l’ont emmenée en Corrèze en Mars 2008 où elle a découvert son nouvel environnement et son nouveau compagnon de pré un hongre Mérens dénommé Orkhys.

Depuis nous essayons de faire des promenades de quelques heures ou d’une journée régulièrement (ce qui n’a pas été facile car l’année dernière a été très remplie) et nous passons de vrais moments de complicité avec eux que ce soit au pré ou en promenade

Du nouveau 2 ans Après

Après etre revenu en Corrèze, nous avons voulu se remettre à l’équitation et profiter de l’espace pour acheter un cheval pour faire des promenades et éventuellement des randonnées sur plusieurs jours. Mon choix était déjà fait quant à la race de chevaux, j’ai toujours adoré les petits princes noirs de l’Ariège, qui sont parfaitement adaptés à la vie au pré à l’année et à la randonnée.
Ayant fait une chute de cheval quelques années auparavant, il me fallait absolument trouver une jument calme en qui je puisse avoir confiance. J’ai trouvé l’adresse du Haras Picard du Sant par e site internet, et la méthode d’élevage et d’éducation des poulains m’a conquise. Je suis donc allée passer un week-end en Ariège à Lasserre, j’ai essayé plusieurs chevaux dont ma petite Plume que j’ai tout de suite adoré. Elle avait déjà de longs crins, un œil doux et malicieux, une tête fine et surtout a été calme pendant toute la promenade : mon choix était déjà fait…
Je suis revenue un mois plus tard pour l’essayer de nouveau, et j’ai craqué ! Jean-Louis et Christine l’ont emmenée en Corrèze en Mars 2008 où elle a découvert son nouvel environnement et son nouveau compagnon de pré un hongre Mérens dénommé Orkhys.
Depuis nous essayons de faire des promenades de quelques heures ou d’une journée régulièrement (ce qui n’a pas été facile car l’année dernière a été très remplie) et nous passons de vrais moments de complicité avec eux que ce soit au pré ou en promenade.....

DEUX ANS APRÈS

Plume et Orkhys : Deux Mérens

Après être revenu en Corrèze, nous avons voulu nous remettre à l’équitation et profiter de l’espace pour acheter un cheval pour faire des promenades et éventuellement des randonnées sur plusieurs jours

Notre choix était déjà fait quant à la race de chevaux, Séverine a toujours adoré les petits princes noirs de l’Ariège, qui sont parfaitement adaptés à la vie au pré à l’année et à la randonnée.

Nous cherchions donc, deux Mérens, nous avons commencé par chercher autour de chez nous. Dans le Lot, ils existent plusieurs éleveurs de Mérens qui exercent cette activité en parallèle d’une activité principale : éleveurs de moutons. Ces éleveurs ont commencé Le Mérens sur des recommandations de la Chambre d’agriculture du Lot qui délivrait des subventions pour l’implantation du Mérens pour son rôle de débroussailleur du Causse.
Les chevaux naissent et grandissent dans de grands espaces et ne reçoivent pas d’éducation jusqu au débourrage, méthode classique et cravache !

Nous avions vu Orkhys, nous avons été séduit par son physique, un mérens vieux modèle, lourd et robuste. Lors de notre visite nous pensions que ce cheval pourrait convenir à Séverine. Mais lors du premier essai, catastrophe ! le cheval était complètement fougueux et sauvage. Séverine qui restait sur les peurs d’une Chute de Cheval quelques années auparavant lors d’une ballade en Bretagne où le cheval lui avait marché dessus suite à la chute.

Séverine, a donc tout de suite refusé ce cheval qui ne lui inspirait pas confiance. Je n’ai pas pu me résigner a laisser ce cheval pour qui j’avais eu le coup de cœur, son physique avait fait mouche.

Nous avons donc acquis ce cheval, pendant que Séverine continuait ses recherches. Elle a trouvé l’adresse du Haras Picard du Sant par le site Internet, dont la méthode d’élevage et d’éducation des poulains l’a conquise. Nous sommes donc allés passer un week-end en Ariège à Lasserre, où après avoir fait connaissance avec Jean Louis et Christine, elle a rencontré plusieurs chevaux dont la petite Plume. Elle avait déjà de longs crins, un œil doux et malicieux, une tête fine et surtout a été calme pendant toute la promenade : son choix était fait…

Orkys et Plume ont donc fait connaissance en Corrèze.

Mais si ces deux chevaux paraissaient semblables, tant de choses les séparaient. Plume était douce et respectueuse, Orkhys était brusque et fougueux. Les premières ballades avec Orkhys ressemblaient à des chevauchées de Western. Le cheval était sur l’œil et était quasi incontrôlable. Je n’avais pas peur et une bonne assiette, je restais sur le cheval mais n’éprouvais aucun plaisir.

Comme nous nous étions bien entendus avec Jean Louis et Christine, nous sommes retournés de nouveau à Lasserre avec nos deux Mérens. Il a donc fallu reprendre l’éducation D’Orkys ; avec les conseils de Jean Louis, je lui ai appris les bases que Plume avait acquis durant ses trois premières années.

Cela a pris de longs mois, ce travail n’est pas terminé à ce jour, mais les évolutions sont significatives.
Nous avons eu une chance énorme, c’est qu Orkhys n’avait subi aucune maltraitance, et avait un bon esprit. Ce cheval a envie d’apprendre.